[Background] Anach

Voici le début de ma vie :
J’ai d’abord vécu dans une famille de paysan en étant le dernier des 6 enfants qui étaient déjà tous majeur. Je vivais tranquillement à aider dans les champs, mais je détestais cette vie. Je préférais aller au village ou j’essayais de passer inaperçu, écouter murmuré le vent, me bagarré avec les copains et volé des pommes au marchand de fruits.
Le jour de mes 14 ans, je partis a la recherche d’un métier dans une ville comme voulais la soit disant tradition de mon père. Arriver à la ville la plus proche, je vue un spectacle excitant pour moi pendant les premières minutes. Je vu des Asmodien enchainait pour la première fois de ma vie, leur peau sombre me fit frémir. D’après les histoires entendues ces êtres habitaient dans une autre partie du monde qu’on ne pouvait pas voir d’ici ou il faisait tout le temps nuit. Tous disaient, qu’ils étaient bon à être jugés et abattus. Ensuite, je marchais jusqu’au magistérium pour évaluez mes compétence par des mages pour savoir a quelle tache je serais destiner à travailler. A ma grande stupéfaction ils me dirent :
_Mm tu es bon à être un assassin ou un rodeur, seul le destin choisira.
_ Mais, jamais je ne me suis jamais camouflé et je n’ai jamais tirez a l’arc !
_Trouve un maitre.
_Je n’en connaît aucun.
_ Trouve un maitre.
Apres quelque minutes, je quittai le magistérium Pour aller a la taverne la plus proche pour commencer mes recherche quand une femme m’interpella :
_ Tu cherche un maitre ?
_ Oui mais comment savez vous ?
_ le murmure du vent.
Intéressé par cette personne ayant l’air si rusée, je la suivît jusqu'à la taverne la plus proche.
Elle m’expliqua que les mages ne m’avaient pas tous dit. Elle avait entendu que j’étais un daevas, ne sachant pas ce que sa voulait dire, elle m’expliqua que je faisais parti comme elle ; d’humains ayant des caractéristiques extraordinaires. Elle me dit comme exemple, je pouvais voler.
_ Si, cela t’intéresse d’essayé de voler en réveillant ton pouvoir et être mon apprentis. Va à la place centrale à 8heure précis. Sinon, oublie tous ce que je t’ai dit. A dernier détail, mon nom c’est Astraya et et toi ?
_Anach.
30 secondes après elle quitta la taverne.
Le lendemain, j’allai au rendez vous, 15 minutes plus tard nous avions quitté la ville. Au milieu d’une plaine Astraya dit :
« Bon le travail commence ! »

Déjà 1 mois que l’apprentissage avait commencé. J’avais réussi a déployé mes ailes et je volais pendant 7 secondes. Dans le tir à l’arc, je touchais des cibles à 10 mètres. Au combat à la dague, je m’entrainais sur des gardes ivres. Un soir Astraya jugea que j’étais assé compétent pour m’apprendre la technique du camouflage. 30 secondes, c’était le temps que je pouvais rester camouflé. Une semaine passa, je devais attendre mon maitre qui était allé chercher une récompense pour avoir tué un Krall et avoir ramené sa tête. Elle revint furieuse puis me dit
_ Tu va faire ta première victime se soir …
_ Mais je croyais que je ne tuerai personne jusqu'à la fin de l’apprentissage !
_ Changement de programme, ce caporal à signé son arrêt de mort.
_ Mais quesqu’il ta fait ?
_Il n’a pas payé la récompense et il ma détroussé. Tous ces hommes étaient à coté, je ne pouvais rien faire. Au passage, je te donne cette lame. Je veux qu’elle termine dans le ventre de ce voyou.
_ Eu mais par ou je passerais pour le tué ?
_ Par la fenêtre, tu c’est voler, sa ne te posera pas de problème. »
J’attendis toute la journée, je préparai mon coup. Le soir venu Astraya me souhaita bonne chance, elle m’expliqua qu’elle passerait, elle aussi pour la fenêtre mais elle récupérait l’argent volée. A l’intérieur du bâtiment, je trouvai sans difficulté le bureau du caporal en assommant les quelque gardes au passage. Arrivé devant la pièce, je vis qu’il était endormi, sans aucune hésitation, j’avançai sortit la lame et la planta au niveau du cœur. En regardant la tête de l’homme, je fus pris d’un gros remord. J’avais tué un de mes frères ! C’était l’ainée, il avait eu une brillante carrière en soldat. Je commençai à pleuré quand mon maitre arriva. Elle me demanda ce qu’il n’allait pas et je lui expliquai que cet homme est un de mes frères. Après quelque minutes, je repartis vers la plaine qui était maintenant mon seul foyer. J’avais trop honte de rentré chez moi après ce que j’avais fait. Terminé ma formation et trouvé quelque chose à faire pour avoir un chez soi fut les première que voulais faire a ce moment. Quelque jour après le drame, Atraya m’annonça qu’elle et moi avons été engagées sans le vouloir en tant que soldat pour une bataille. Une armée asmodien fonçait vers le sanctum , notre but était de les arrêté avant qu’ils arrivent à la ville. Elle me précisa que ses humanoïdes étaient comme nous, des daevas ayants exploité leurs compétences au maximum selon les informations. Arrivé au campement, on me donna armes et armure. L’ennemi arrivera en charge demain matin disaient beaucoup de soldats. Je me préparais moralement à voir le carnage qui aura lieu demain. Je n’avais pas le droit à un seul faux pas.

Le lendemain, je faisais parti de ceux qui se sentaient mal à tel point que je poussai de petits cris plaintifs. Vers Midi, la sonnette d’alarme sonna, les premiers rangs se formèrent. 4 minutes plus tard, les premiers croisements de fer commencèrent. Un rictus de dégouts se forma sur mes lèvres; je plaignais tous ces morts. En Approchants de la bataille des flèches passait au dessus de mon corps .La riposte fus immédiate.
Un rodeur près de moi s’en reçut une en plein front. J’avais envie de vomir et m’enfuir en courant, mais je ne pouvais pas. Des que les ennemis était a ma porté, je donnai plusieurs coup blessant une personne, avant de me prendre un coup de poing et me faire transperçait le ventre. Je criai de douleur puis plus rien. Je me réveillai 2 jours plus tard avec un cocard et des bandelettes au ventre. Je vomi, le peu de nourriture qui me resté dans l’estomac. Puis je repris mes esprits et je demandai ou j’étais a l’assistant qui était près de moi .Il m’appris que j’étais dans un campement de soigneur sur la place central du sanctum. Apres un quart d’heure, je réussi à me lever avec grande peine. Je faisais un tour au service qui donné de la nourriture aux blessés qui pouvait tenir debout, j’eu du pain et du fromage. Fatigué d’avoir autant marcher, je m’assis sur le banc le plus proche. Une main se posa sur mon épaule surprit, je me retournai près a mettre un coup de poing quand je vus que c’était mon maitre. Sa cuisse avait reçu un coup, elle boitait à cause de sa.
_Des que possible on part. Cet endroit est pour l’instant que de mauvais souvenir. me dit Astraya
_ Mais il ya peu être de la famille ou … répondit-je
_ Non, commence à te préparer.
Je savais qu’elle avait raison et que j’avais tord.
Quelques Jours plus tard, nous étions partis. En Marchant je n’avais jamais autant remarqué la beauté de mon maitre : cheveux noirs, yeux bleu, taille fine, beau corps .Les journées devenaient plus sympathiques, je ne pensais plus au drame. Astraya était mon maitre mais elle devenait aussi mon amie. Au bout de deux semaines, ma cicatrice au niveau du ventre avait disparu. Je recommençais les entrainements de plus belle et la joie était encore plus grande. Je me plaisais dans cette région, loin des combats ou on pouvait chasser, voler, boire, manger … Je réussi à construire une cabane près d’un lac pour dormir. J’avais réussi sympathiser avec un groupe de shugos qui s’étaient installés dans le coin. Astraya avait découvert une falaise parfaite pour s’entrainait au vol. Tout était tranquille. A 4 mois de mes 15 ans un convoie qui allait dans notre direction ou je pus apercevoir mon dernier frère Akalfar et mes trois sœurs Akashan, Astral et Alakasha. Je fus étonné pas leur vêtement de noble alors que quand j’avais quitté la ferme, il portait tous des vêtements de citadins. Arriver devant moi, ils me regardèrent puis dirent :
_Anach tu va nous suivre est rentré, papa est malade et nous sommes riches maintenant. Tu va vite te faire un nom. Tu va voir c’est bien. Tu pourras te battre avec les plus grands maitres et tu pourras tuer toi même les asmodien capturé. Dit Astral
_ Mais je ne suis pas intéresser cette vie. Je suis bien dans cette plaine répondis –je
_Ne ne me dit pas que tu refuse d’être célèbre ! Puis qui est cette fille ?demanda Akalfar
_Je ne suis plus une petite fille comme vous dite et je suis astraya, le maitre et l’amie d’anach ! répondit-elle avec colère.
Surprit je me mis devant elle pour ne pas d’éventuelle cracha comme faisait si bien mon frère.
_ Anach réfléchis bien à ton choix, nous reviendrons dans 2 semaines. Notre mère voudraient que tu reviennes, elle serait prêt a envoyé des soldats pour aller te chercher. Dit Akashan
Inquiéter par leur parole, je les regardai partir nerveux.

J’allai méditer dans mon cabanon. Il fallait que je change l’endroit de ma cabane. Si ma sœur avait dit juste, il fallait passer le plus inaperçu possible. Les 2 semaines se passèrent dans la méditation et les entrainements. Astraya avait beau me dire qu’en déplaçant la cabane, j’étais à l’abri mais je me sentais nerveux et toujours sur mes gardes. Je revus mon frère et mes sœur en leur disant ma réponse. Ils partirent mécontents mais ils devaient accepter mon choix. Quelques jours plus tard, les shugos m’ont demandé une faveur: un krall corrompu terrorisait les animaux et les shugos ne pouvaient plus chasser.
Ils me promirent à moi et à mon maitre un arc chacun et une bourse à partager. J’acceptai avec joie la quete, je détestai les kralls et les tuaient me déstresser. C’était la seul barbarie que j’approuvai. La créature errée près de la forêt de Garbarie. Armer d’une lame et d’une dague, je suivi mon amie. Après 3 heures de marche, nous trouvâmes la piste de la créature. Le krall avait tué et mangé une biche depuis peu. Il s’était assoupi dans le coin, je dus chercher dans tous les gros buissons jusqu'à trouve la bête. Il faisait 3 mètre de haut mais, il n’était pas rapide. Le combat commença. Lui avec sa hallebarde, moi avec ma lame et ma dague. Je vus Astraya passé dans être vu avec un arc a la main. Je compris son plan, j’attirai le krall pendant quelle préparerai sa flèche mortelle. Après avoir contré quelques coups, je commençai à fatigué la lame de sa hallebarde avec déjà mi hors service ma dague. Je vis soudain le corrompu tombé avec une flèche dans le dos. Content de notre travail, nous ramenèrent la main pour prouvé que nous l’avions tué. L’arc donner en récompense était génial et ma part de la bourse pouvait me nourrir pendant 3 semaines sans chasser. Un soir, j’entendis un bruit dehors, je sortis mon arc et quelques flèches. Je me dirigeai vers la gauche puis tira par instinct. J’entendis un petit cri puis rien. En avançant, je pus voir un corps. J’étais terrifié à l’idée d’avoir tué un autre élyséen. Puis en regardant de plus près, je pus voir que c’était un mercenaire. Ma mère me voulait et elle avait envoyé un homme me cherchait. Il fallait que je change d’endroit. J’enterrai la dépouille à cent mètre, Puis le lendemain je parlai à Astraya de mes craintes.
_Mm, nous allons changer d’endroits avec les shugos comme sa, nous auront leurs protection.
Disait Astraya
_Oui, mais il parte quand ? Demandai-je
_Il parte dans 6 jours, pour plus de sécurité nous allons habiter ces 6 jours avec eux.
Je pris mes affaires les plus importantes puis je partis au campement, les shugos acceptèrent avec plaisir ma venue et celle de mon maitre. Lors du déplacement, je crus apercevoir une ou deux fois des hommes cacher dans les buissons. Le campement s’installa dans les plaines, on pouvait voir La tour de l’éternité. Ils m’expliquèrent que depuis que cette tour avait été détruite. Depuis les asmodiens et les elyséens s’entretuaient, mais de cette plaine nous n’avions rien à craindre. Deux semaines que je chassai pour le campement. La vie était tranquille même si deux ou trois intrus avait été capturé puis relâché. Un soir, peu âpres mes 15 ans, je vu un spectacle qui me dégouta. Des hommes faisaient bruler des asmodiens ou les torturer dans la plaine dans face. Comment pouvait-on faire sa ? On les traitait de barbares mais ces actes été presque plus horribles.

Apres une dizaine de jour de marche notre groupe arrivé à proximité d’une cité. J’allai marcher vers cette ville aux dalles blanches comme du sable. Cela faisait 4 mois que je n’avais pas vu la civilisation. Et je pensai ce que je saurai en ce moment si j’avais accepté de suivre mon frère et mes sœurs. Je regardais cette ville toujours étonné de tend d’agitation et d’homme et de femmes sortant et entrant. Même si cette vie m’intriguait, je préférais la nature. Je décidai d’aller cherché ma bourse pour aller acheté une bière dans cette cité. Quand j’arrivai dans la ville, j’étais accompagné de quelque uns de mes amis qui voulaient prendre du bon temps. Arrivé dans la taverne la plus proche, je fus interpellé par un garde éméché.
_Allé petit donne moi ta bourse et tu oublie sa. Sinon et je serais obligé de t’envoyé dans le coma.
Effrayé je sorti une dague, quand soudain le garde tomba raide mort, flèche dans le dos.
_fais gaffe Anach, cette ville est bourrée de truand. Et revient au campement l’orage arrive. Pas le temps de boire une bibine.
C’était Rifo, mon meilleur ami après Astraya. Je le suivis jusqu’au campement. Je vis mon maitre dormir près du feu de camp éteint. L’orage avait été violent est un shugo s’était fait foudroyé en voulant aller cherché de l’eau a la source la plus proche. Le soldat qu’avait tué hier mon ami avait été retrouvé et aucun camp ne pouvait partir avant nouvelle ordre. Les amis du gardes était près à tabasser tous les archers pour savoir le quel a fait ce crime. Quand les hommes arrivèrent au campement, je n’u pas le choix. Nous les avions tous tué et le camp était déserté en 20 minutes. Si nous nous hâtions plus, nous étions perdus. En plus cette acte ne serrât pas passer inaperçu aux yeux du sanctum. Une semaine plus tard tous les shugos avaient été massacré. Ils nous avaient ordonné de fuir. Apres être arrivé à une maison abandonner, je commençai a pleuré a chaude larmes. Mon maitre me prit dans ses bras. Après mètre remis de ce drame, avec ma seule amie vivante, nous partîmes loin. Un soir après le drame Astraya me dit :
_Anach, sa devient trop difficile de vagabonder tout les deux. Il faut s’engager ou soit arrêter ce métier. Oublier ces talents. Vivre avec ta famille. Rend toi a l’évidence, si nous continuons nous sommes perdus.
_Oui peut être, mais nous seront séparé de la nature.
_Tu pourra toujours faire des excursions dehors avec ou sans moi.
_Mmm, d’accord, allons à la prochaine route puis direction Sanctum.
J’étais sidéré de devoir dormir dans des bâtiments âpres tous ces mois à dormir sous les étoiles. Mais la vérité sautée aux yeux, nous avions plus beaucoup de nourriture. L’hiver approché. Arrivé à la capitale Elyséenne. Je demandai à un soldat avec mépris ou habitait ma famille. Devant la porte d’entré le serviteur allait me refusé, je sorti mes ailes.
_Vous n’aller pas refusé a un Daevas de la famille d’entrer quand même.
Le garde grogna puis ouvrit la porte, au passage je dis que la fille était avec moi. Arrivé devant ma mère celle ci sauta de joie. Puis elle regardât Astraya et dit :
_A enfin tu revenu mon fils et en plus tu tes trouvé une petite amie.
_Maman c’est une amie et c’est aussi mon maitre de profession.
_ Je vois, quel est cette profession ?
_ Assassin, votre fils est un bon élève dit Astraya
Surpris ma mère se ressaisit vite. Apres nous avoir donné a mangé et des habits chic. Elle nous expliqua pourquoi la famille s’était tellement enrichie et comment mon père était mort malheureusement. A partir de ce point, je faisais vraiment parti de cette famille riche.

Les mois passèrent avec Astraya. Nos amours se développèrent. Une passion avait fleuri entre nous. Nous étions toujours main dans la main. Tout semblait beau, enfin à part les mises a mort sanglantes qui avait lieu au cœur de la capitale. L’été passé tranquillement en apportant avec lui un bleu ciel azure parfait pour voler et faire des loopings. Vers Début automne la nouvelle arriva, Astraya était recruté obligatoirement pour les abysses. Sa mission etait simple volait des plans, des clés etc.… Tout ce qui pouvait aider pour le pouvoir Elyséen. Blêmit, j’allai voir un ermite pour lui demander son avis. Celui si m’assurant qu’elle rentrerait vivante. Rassurais-je partis en volant droit vers le Sanctum. Apres 1h de trajet, deux substances noir fonçaient vers moi. Je n’u même pas le temps de réagir quand ces choses s’accrochèrent autour de mes ailes. Ne plus pouvant voler je tombai dans des arbres. Après avoir passé je ne sais combien d’heure dans les pommes. Je me réveillai normal. De peur que c’est chose reviennent je continuai mon chemin a pied. Apres deux heures de marches et plusieurs crampes j’arrivai à la porte centrale. Je ne parlai à personne de cette histoire. Apres deux semaines, je compris ce que ces substances m’avait fait. Mes ailes noircissait, mon humeur ce dégradait et une envie de tuer naissait en moi. Pris de peur j’allai dans la forêt méditer. A mon retour mes ailes étaient redevenues normal. La nature les rendait comme avant. C’était comme si tout la haine de la ville changeait mon humeur et mes ailes. Au retour d’Astraya qui était resté 3 semaines dans les abysses. Elle donna raison, la ville et la sédentarisation me rendait mauvais. Il fallait que je trouve une guilde nomade en communion avec la nature. Et je trouvai la guilde parfaite : Calumet. Depuis ce jour je fus accepté, tous les 2 mois je m’absentais 2 semaines ce qui ne dérangeait pas la guilde comme je les retrouvais
Tout le temps.

Voilà vous connaissez mon histoire autour d’un feu ou par un parchemin qu’a Daru. Sachez que même si je n’ai peut être pas cité beaucoup de fois, un seul mot ma aidé à tenir le coup : amour.