Sans vouloir ramener ma poire là où elle ne devrait pas être, voilà mon avis :
D'abord, quand on parle de recrutement on peut regrouper les différents profils selon leur "niveau de RP et/ou de jeu".
Les pro-RP sont - je peux le dire sans prendre torp de risque - des gens sérieux qui s'investissent selon leur temps de jeu. Ce sont donc des très bon candidats.
Les p'tits nouveaux dans le domaine (en général les plus jeunes, du moins mentalement), là y'a pas 36 solutions c'est la période d'essai. Ne pas hésiter à virer si ça ne va pas (une guilde ce n'est pas une association humanitaire, désolé d'être cru). Ensuite dans le "milieu" on trouve les gens plus orientés "
no-life", qui peuvent être super car ils s'investissent énormément, mais méfiance (ça se voit assez vite un pgm bien et un pgm mauvais). Et ceux plutôt
casual-gamer, qu'on divise en deux groupes : les casuals "tranquilles" (père de famille, le mec qui est dans le love avec sa copine, etc) et les casuals "gamins" qui se raprochent du "p'tit nouveau dans le domaine.
En élargissant le recrutement, on ramène les p'tits nouveaux dans le domaine, les casuals et quelques no-life (les no-life c'est plutôt par relation après la release) mais on peut passer à coté des "pro-RP", sauf ci on reste la référence du domaine.
Il faut faire attention à ne pas faire mourir la guilde à la release, entre ceux qui font faux bons (cf moi pour wow...) et un recrutement trop fermé, ça va vite. La méthode classique consiste à ouvrir large, même si on perd quelques pro-RP et à réduire le recrutement et surtout faire un tri sélectif dans les membres déjà intégrés. Sur le long terme, on retrouve une bonne notoriété et on récupère les pro-RP qui auront moins peur. La méthode alternative pour pas recruter tout ce qui passe : avoir une base de guilde solide (1 GM + 3 membres au moins) qui s'investissent et qui persévèrent jusqu'à ce que la guilde se lance (doucement).
Je trouve que la limite quantitative n'est pas la meilleure solution, même si elle évite de se faire envahir. Si la guilde manque d'activité, on ouvre les robinets, si ça commence à aller, on devient plus exigeant, s'il y a trop de monde, on garde le recrutement ouvert pour trouver les perles rares, en restant draconien. Il y aura toujours des gens qui se lasseront et qui partiront. Il faut garder un minimum de convivialité on est d'accord, mais les sous-effectifs sont très dangereux aussi.
Je sais même plus sur quoi je voulais conclure, tant pis.
Ouh! c'te pavé que j'ai fait ...